Comment s’aligner avec la force ?
Il n’y a pas trente-six façons de s’aligner avec la force et ce n’est pas quelque chose de très compliqué, très occulte, ou de très kabbalistique. Il faut poser un genou à terre et recevoir l’entier du plan, même si l’on ne connaît pas le plan. Je veux dire, qu’à la façon des chevaliers d’autrefois, il faut faire acte de révérence face au Roi, mais la plupart des disciples ne le font jamais.
C’est pourquoi, observez comment est distribué le monde, regardez ses axes de force, ses axes initiatiques, c’est en vertu de cette nécessité de l’engagement que sur la terre tous les temples vous marient à leur énergie. C’est ce qui, de façon déformée, a obligé l’homme à appartenir à un temple, à appartenir à une religion, et à subir l’initiation du temple ou le baptême de cette religion.
Mais en fait, ce n’est pas pour appartenir au temple ou à la religion, que ce phénomène a été créé. C’est uniquement pour que l’individu se sente engagé vis-à-vis du plus grand temple et qu’il y soit véritablement reconnu.
C’est pourquoi, par exemple, dans l’église catholique, tous les prêtres et tous les curés se dépêchent de baptiser les nouveaux nés. Ils disent : « Si on ne le baptise pas, il perdra son âme ». Bien sûr, la chose est dite de façon bien déformée, dans une spiritualité complètement anéantie, mais cependant, la raison sous-jacente est véritable.
Il faut toujours être relié à un sein vibratoire, à une plus grande réalité, sinon, on risque non seulement de patauger dans la réalité présente, mais de retomber dans une réalité inférieure. C’est pourquoi, dans l’acte d’évangélisation, les apôtres ont autant favorisé le baptême. Mais ce n’est pas pour faire de chaque individu un catholique et un homme qui ira à la messe et qui acceptera tous les dogmes de l’Église. C’est uniquement pour que la personne se sente engagée vis-à-vis du plus grand temple et qu’elle y soit véritablement reconnue. C’est, avant tout, pour permettre à chaque homme d’être relié au temple principal, avec la plus haute réalité.
Donc, pour vous-même, pour votre travail de disciple, pour vous qui voulez accomplir un acte encore plus conscient que celui, simple, que motive le baptême, vous devez vivre cette cérémonie de l’engagement, et je vous le demande. Si vous n’appartenez pas à une des sociétés initiatiques où vous avez été baptisés, vous devez préparer votre propre cérémonie d’engagement.
Pour ceux qui aiment la chevalerie, car c’est de cela qu’il s’agit, imaginez quelque chose de très chevaleresque. Un genou à terre, la main droite sur le cœur, prononcez votre engagement, face à l’épée et à une flamme.
« Seigneur je m’engage à te servir et à secourir tous tes enfants, ainsi qu’à bâtir le nouveau monde. Et ceci, non pour ma gloire personnelle, mais pour que ton royaume vienne soulager les enfants de la terre ».
Prononcez cette phrase ou prononcez celle que vous vous composerez vous-même, mais prononcez cet engagement. Arrêtez de voler dans tous les sens et de rêver à propos du nouveau monde. Engagez-vous dans le nouveau monde. Nous ne pouvons rien faire avec une foule qui est en bas, qui va dans tous les sens et piaille sur tous les tons. Que peut-on faire avec une foule qui gesticule dans tous les sens ? Et si tout le monde chantait la même chanson ?
Mais il faut vous attendre à ce qu’une grande partie de la foule continue à jacasser, il faut le savoir. N’espérez donc pas l’alliance et l’alignement avec ceux qui sont placés de façon horizontale à côté de vous, c’est-à-dire les autres hommes, parce que c’est pour eux que vous allez travailler, donc ne comptez pas sur eux.
Première des choses, si vous voulez être un disciple actif, ne faites confiance à personne, ne comptez sur personne. Si vous comptez sur les amis, sur le tellurisme, le positif, le négatif ou je ne sais quoi d’autre, vous ne ferez rien.
Un homme qui s’assume est un homme qui ne compte que sur lui-même. Il sait faire confiance aux autres, mais dans un acte d’amour, et non pas en déléguant le poids de sa responsabilité aux autres.
Dans un acte d’amour, oui, faites confiance aux autres. Sentez-les capables de vous comprendre et commencez par oublier que les autres sont incapables de comprendre, et par là même vous allez rayonner une énergie fantastique, une bénédiction extraordinaire sur leur cœur qui va favoriser la dilatation.
Pensez et ayez l’amour suffisant, pour imaginer que tous les hommes sont capables de comprendre Dieu, d’aimer Dieu et de concevoir sa grande éternité. Et ensuite parlez et faites. Si vous les imaginez capables, vous ne les coincez pas dans un espace-temps où vous allez attendre qu’ils témoignent de leur compréhension.
De la même façon, un paysan qui vient de semer, ne s’attend pas à ce que dans les dix minutes qui suivent, la graine ait poussé et qu’il va pouvoir récolter son fruit. C’est l’erreur que commettent de nombreux disciples, ils disent : « je lui parle et il ne comprend pas, c’est un idiot. » Eh bien moi je te dis : « C’est toi l’idiot. » Tu es le paysan imbécile qui parce qu’il vient de mettre une graine dans la terre s’attend tout de suite à avoir la tomate, sans laisser passer le temps.
Vous devez savoir qu’il faut un certain temps pour que la graine pousse, et qu’il vous faudra souvent repasser sur votre semence pour y mettre de l’eau, des engrais, puis y mettre un tuteur pour que le plant pousse droit. Et surtout, il vous faudra défendre ce plant de tous les rapaces. Et au jour promis, au jour du rendez-vous, vous pourrez venir cueillir le fruit. Il sera là. Sachez que le fruit ne va exister, que si vous faites les actes qui vont permettre l’existence de ce fruit.
Beaucoup de disciples débutants négligent cette deuxième phase de la création, cultiver. C’est ce qui se passe au cours d’une ère. Au début d’une ère, vous avez un nouveau message, de nouvelles lois, un nouveau rituel, de nouvelles énergies. Et puis vous avez toute l’ère pour cultiver cette énergie. Il est attendu de vous, qu’à la fin de l’ère, vous ayez pu récolter le fruit de cette culture pour passer à une nouvelle culture. Ainsi, étant passé à travers toutes les ères, vous avez pu cultiver et manger tous les fruits du seigneur. Ayant eu une nourriture complète, vous avez pu pousser de façon parfaite, et vous serez devenus parfaits comme le père qui est aux cieux est parfait.
Il est bien beau et c’est très louable de vouloir servir, de commencer à faire quelque chose, mais quel gaspillage il y a dans les groupes, simplement parce que les choses sont mal accomplies par manque de connaissances occultes, manque de fonctionnement des lois, manque d’intuition, manque de sagesse, manque d’amour. Si nous ne devions dépendre que de votre bonne volonté, nous aurions déjà créé le nouveau monde. Or, la bonne volonté est une chose, mais la compétence en est une autre.
Vous avez la bonne volonté, l’idéal, c’est un point que vous avez acquis, c’est bien. Ce qui est acquis est acquis et n’a plus besoin qu’on y travaille. Travaillez donc sur ce qui vous manque pour que cet acquis devienne flamboyant. Travaillez la compétence. Un être de Dieu est compétent. Alors ne rêvez plus, agissez.
Comment devenir compétent ?
Vous allez devenir compétent en devenant vous-même, le point d’expérience de ce qui doit être fait. Lancez-vous dans l’action. Quand vous serez dans l’action, si vous avez à l’esprit, l’idée de compétence, vous allez être extrêmement observateur de ce que vous dites, de ce que vous faites, de ce que cela crée chez les personnes qui sont en face de vous. Ce qui fait, qu’au fur et à mesure des expériences et des manifestations, vous allez devenir un être de connaissance. Vous allez savoir que vis-à-vis de telles personnes vous devez faire comme ceci, comme cela vis-à-vis d’un groupe de tel rayon. Tout viendra naturellement. Ceci, vous devez le comprendre vous-même. Dieu ne peut pas vous le faire comprendre, comme Dieu ne peut pas vous rendre intelligent, cela dépend de vous.
Si, à la création, on avait déterminé en l’homme son type d’intelligence, ou de rayonnement, il ne serait pas un Dieu, il serait l’homme ainsi créé avec tel degré de rayonnement, tel degré d’intelligence, tel degré de pouvoir. Il appartiendrait à des règnes que l’on dirait inférieurs.
Tous les règnes inférieurs sont des règnes typés, calibrés, mesurés, sans notion de liberté. C’est pourquoi les règnes inférieurs restent inférieurs. L’homme est donc libre. Libre de se rendre intelligent ou de rester niais, libre de se rendre compétent ou de rester maladroit, libre de se rendre disciple ou de rester assassin.
Il est dommage qu’il y ait à ce point le choix entre le bien et le mal, entre devenir Dieu ou rester un être informe. Bien sûr c’est tragique, mais dans toutes les grandeurs il y a de la tragédie.
Essayez de vous mettre une seconde dans la peau d’un Roi et de vivre comme un Roi. Il y a le prestige, le pouvoir, l’auréole mystérieuse. Être Roi, malgré toute la légende que cela peut traduire, est quelque chose de très difficile. C’est un acte d’extrême humilité, un acte d’extrême abandon et d’extrême sacrifice. Un Roi n’est pas un Roi s’il ne se sacrifie pas pour le bien du nombre, s’il ne se sacrifie pas par amour pour son peuple, d’où son humilité.
Donc, être la chose la plus extraordinaire du monde, veut dire, en même temps, qu’il faudra, apparemment, être la chose la moins extraordinaire, puisqu’il y a le poids des responsabilités, le poids du sacrifice. C’est là, la notion de tragédie qu’il y a dans la grandeur de l’homme, dans la grandeur de sa divinité. L’homme n’est grand que lorsqu’il se sacrifie vis-à-vis du plus petit, ou vis-à-vis du bien commun. Si vous avez de la grandeur, ce doit être celle-là, et non pas la grandeur pour vous-même, le brio de l’état que vous avez atteint. Le plus grand est en même temps le plus petit.
Si le Roi des Rois voulait prendre un corps et une fonction sur la terre, il serait balayeur de vos rues, de vos rues qui sont dans votre inconscient, dans vos désirs, dans vos émotions. Il ne serait pas celui qui vient et qui attend d’être reconnu. Il n’attend rien, il donne tout. C’est ce que le disciple doit comprendre, c’est l’acte d’humilité et de sagesse qu’il doit accomplir s’il veut être utile au Maître. C’est ce que le disciple ne fait pas lorsqu’il attend d’être compris, lorsqu’il attend que sa parole soit reconnue comme vérité, et qu’elle soit suivie par les hommes.
Alors, si vous avez quelque chose à donner, ne le donnez pas comme celui qui attend d’être reconnu, car vous ne donnez pas pour vous-même, vous donnez pour l’autre. Dépouillez-vous de votre égo si vous voulez imiter le Roi des Rois et travailler avec lui, car il ne reçoit que ses semblables.
Lorsque vous aurez atteint ce dépouillement, automatiquement vous deviendrez crédible. À l’instant où vous vous y attendrez le moins, à la personne à laquelle vous n’avez jamais parlé, vous pourrez projeter une pensée semence. Et vous comprendrez pourquoi Jésus a dit à la femme qui s’était accrochée à sa robe :
Comment comprendre la réalité occulte de cette situation ?
Toute la réalité réside dans le fait que Jésus n’était pas parmi les hommes pour lui-même, mais pour les hommes. De ce fait, il était entièrement à la disposition des autres. De ce fait aussi il était comme un pain blanc qui se donnait à tous ceux qui pouvaient mordre dans sa mie.
Alors, si vous voulez être du vrai pain, travaillez pour les autres et pensez que vous n’êtes qu’un chaînon, un petit chaînon, d’une immense chaîne. Ainsi vous allez travailler en correspondance avec le Maître qui ne doit pas être non plus l’objet, le but de votre travail. Le Maître c’est le plan, le mouvement de la vie, le mouvement de l’évolution, son déploiement.
Alors, contentez-vous et efforcez-vous d’être un mouvement dans le grand mouvement, ressentez cette harmonie, ressentez cette communion et portez de toutes vos forces ce mouvement par esprit de communion et de fusion, non par esprit de travail personnel, ou de travail de votre
Quand il s’agit de parler de cette dislocation, il faut faire une différence entre ce qui est maladie et ce qui est dislocation, discordance, car le sida n’est pas une maladie. Tout le monde croit qu’il s’agit d’une maladie. On répertorie tous les faits, tous les symptômes comme les symptômes d’une maladie. Mais le sida n’est pas une maladie.
Comment comprendre, comment concevoir cela ? Il ne faut pas croire, qu’étant donné que l’on va entrer dans une nouvelle maison, il faut se dépêcher de faire la lessive du linge que l’on emporte de l’ancienne. Ce n’est pas une lessive, et celui qui croit que tous ces désordres sont des lessives est un être superstitieux qui croit aux châtiments. Or, j’ai dit qu’il n’était plus question d’exercer une quelconque superstition. Celui qui veut être du nouveau monde ne doit pas être un être de superstition, mais un être de sagesse, qui repose sa pensée sur des bases et des fonctionnements occultes, une vision qui est donc pure. Il ne faut pas voir le châtiment de Dieu partout, car il n’existe pas. Il n’existe aucun châtiment.
Comment se fait-il donc que l’humanité semble être parfois châtiée ? L’humanité semble être parfois châtiée, uniquement, parce que disposant de sa grande liberté, quand l’humanité met au monde un arbre qui est vil, cet arbre tue celui qui l’a planté. C’est aussi simple que cela. Personne ne juge, personne ne se fatigue à juger, aucun Seigneur du karma n’est là pour juger les hommes, aucun Maître ne se fatigue à peser ce qui est bon, ce qui est mauvais dans l’homme. C’est l’homme qui fait cela. Alors, ne crois pas que parce que tu le fais, Dieu le fait aussi. C’est ta grande liberté de créateur qui te permet cela, et c’est en même temps un énorme risque, parce que si tu ne sais pas faire un bon fruit, un fruit qui va perpétuer ton éternité, nourrir ta beauté intérieure, et bien tu connaîtras la mort et l’enfer. Mais cela ne veut pas dire que la mort et l’enfer existent. Rien de tel n’existe. Mais par contre, tu peux créer toi-même ce qui n’existe pas en plantant un arbre qui ne donnera pas de bons fruits. Alors que tout a été prévu pour l’évolution, pour le bien perpétuel, toi, tu es capable de créer l’enfer de tes propres mains, alors que tu es en train de prier Dieu.
Étrange ! N’est-ce pas ? Donc, si tu veux en quelques mesures partager la tâche qui vise à soulager le monde, tu dois d’abord te départir de tous tes archaïsmes, la superstition, le rêve, le manque de force etc. Ainsi, tu pourras aider ceux qui sont en train de s’aligner avec des forces supérieures, qui en éprouvent un mal immense et qui peut-être vont en mourir. Vous pouvez me dire : « C’est très beau d’imaginer une cause cosmique comme étant la cause du sida, ou encore pour l’humanité, une cause d’alignement pour une plus grande spiritualité, mais concrètement, comment réagir contre le sida ? » Je dirais qu’il existe une façon très simple de réagir contre le sida, comme de réagir contre toutes les maladies qui sont des désordres de l’alignement. Il faut une bonne fois pour toutes s’aligner avec l’énergie. Donc, éventuellement, moins porter les efforts sur la guérison du corps et davantage sur l’alignement de l’être et par là même le corps sera dépouillé. Tout le problème réside non pas dans l’alignement qui est à faire, mais dans l’homme qui va devoir faire l’alignement. Parce qu’il est certain que, même si l’on donne les clés de l’alignement, même si l’on crée des séminaires pour aligner les personnes, il y a un maximum d’individus qui ne seront pas capables de s’aligner, parce qu’ils n’ont pas la foi nécessaire, parce qu’ils ne comprennent pas tout à fait ce que l’on dit, parce qu’ils ne déclenchent pas en eux les feux nécessaires. Donc il y aura toujours ceux qui pourront et ceux qui ne pourront pas. Ceux qui ne peuvent pas doivent alors entièrement s’en remettre aux mains de la médecine pour essayer de guérir le corps et je souhaite qu’ils y arrivent. Mais la médecine ne peut pas guérir les désordres vibratoires et les moments d’alignement avec les couches du soleil. La médecine ne peut pas guérir cela, c’est impossible. Tout simplement parce qu’elle n’a pas fait le pas dans le maniement des énergies. Mais lorsque cela sera fait, elle pourra alors couvrir tous les problèmes, sans manquer de qualité et de brio. Il est donc nécessaire, qu’actuellement, tous ceux qui s’occupent de guérisons plus ou moins holistiques, puisque c’est ainsi que vous appelez ce mouvement, disons la guérison par l’esprit, par les énergies, se solidarisent pour être là, afin de compléter l’action de la médecine, sans chercher à collaborer ou à cohabiter avec la médecine. Car la médecine traditionnelle n’acceptera jamais cette version des faits. Il faut donc travailler plus ou moins en secret, de façon anodine, de façon presque enfantine pour ne pas éveiller des réactions contraires de la part de la médecine. Car si l’égrégore entier et total de cette profession se mettait à monopoliser cette énergie, cela finirait par entamer et entailler le pouvoir de ces guérisseurs. Cela créerait des ondes de parasitage. Donc, comme le guérisseur travaille pour les autres et non pour lui-même, je le répète, qu’il travaille de façon secrète et silencieuse, même s’il lui semble insupportable d’avoir réussi à guérir ou à stabiliser quelques personnes et que sa découverte devrait être partagée par tout le monde, afin que tout le monde en profite. S’il pense cela, le silence que je lui demande lui semblera insupportable et il se dira : « Je ne peux pas détenir cette chose, cette découverte et ne pas la partager avec le monde. Je suis un assassin. » Je te rassure en te disant que tu n’es pas un assassin, mais un être extrêmement intelligent, parce qu’il n’y aura pas que toi qui auras découvert cette chose. L’important est de travailler avec tactique. C’est cela qui assure le progrès et la réussite. Ce n’est pas d’arriver par exemple au parlement ou à un congrès et de dire : « Il faut faire ceci, ceci et cela. » Personne ne te croira. Personne ne voudra de ta découverte. Par contre, travaille tout par l’intérieur, justement comme font les hommes politiques. Tout le monde utilise le système de la taupe. (C’est ainsi qu’on nomme ce phénomène). On infiltre silencieusement, de façon invisible et un beau jour l’infiltration est si grande, que du côté invisible la chose passe du côté visible. Une fois que, dans l’invisible tout est saturé et que l’énergie a réussi à grandir, qu’elle bouillonne, automatiquement cela déborde avec force sur le plan visible. Cela aussi, est une chose que vous devez connaître si vous voulez être fort. Vous devez avant tout construire votre projet dans l’invisible et apporter de l’énergie avec vos amis de façon à créer une pression astrale. Et lorsque la pression sera immense paf… tout va éclater et tout va se manifester sur le plan physique. C’est ce qu’utilisent les hommes qui veulent faire du mal. C’est ce qui se passe à l’heure actuelle et qui engendre les guerres. L’agressivité monte, monte, est vécue dans le corps astral et un beau jour à force d’être alimentée, cette agressivité débouche sur une guerre. Si vous voulez être aussi puissant que le mal, connaissez cette loi, car le mal utilise les mêmes lois pour effectuer ses plaies, ses blessures. Soyez aussi malin que lui. Et comme a dit Jésus : « Soyez malin comme des serpents. » Cela ne veut pas dire qu’il faut être comme le serpent vicieux d’esprit, pour pouvoir se préparer à toutes les circonstances qu’il va créer. Cela veut dire : connais les lois comme le mal, qui, lui, très malin, connaît les lois pour créer le mal, pour établir son royaume. Il n’est pas fou le mal. Il ne vient pas en habit de triomphe essayer de planter son drapeau dans le monde. Regarde comment il fait. Il est malin parce qu’il connaît les lois. Il sait qu’il doit grandir dans l’astral, même si cela demande des années, voire des siècles. Il sait qu’il ne doit pas se montrer aux hommes, car l’homme dans le fond a une bonne volonté et il ne serait pas séduit. Il sait qu’il doit travailler au niveau du subconscient et de l’inconscient, et automatiquement en travaillant dans l’ombre il arrive à augmenter son influence et un jour, grâce à un groupe il peut dominer. Celui qui veut faire le bien doit agir avec les mêmes lois, car ces lois ne fonctionnent pas pour le bien ou pour le mal, ces lois sont en fonctionnement, un point c’est tout. Donc utilisez-les. Il y a encore beaucoup à dire sur le désordre dont vous m’avez parlé, et j’y reviendrai lors d’autres rencontres.
Pour l’heure, je veux que vous soyez bien centrés sur les sujets que j’ai abordés et que vous repartiez avec cette graine. Mais sachez que je n’attends pas que dès demain vous soyez différents. Je laisse l’horloge du temps apporter toute l’eau nécessaire, pour qu’un jour, vous ayez vous-même et pour vous-même le bonheur d’être différent. Je vous salue.